4 conseils pour aborder la propreté sereinement

Parce l’acquisition de la propreté est loin d’être un jeu d’enfants, je vous donne aujourd’hui 4 conseils pour aborder cette phase tout en douceur.

La patience est le maître mot

Il n’y a pas vraiment d’âge pour commencer à parler de propreté. Tout dépend de l’enfant, de sa maturité. L’idéal est d’aller à son rythme pour ne pas le brusquer. 
Certains enfants vont commencer à prendre conscience de ce qu’il se passe dans la couche et exprimer ce qu’ils ressentent vers 18 mois, d’autres plus tard (parfois même plus tôt !). À partir de ce moment là, il est important de leur expliquer les choses et pourquoi pas leur proposer le pot à certains moments de la journée : avant le coucher, avant la douche, après les repas… À vous de voir ce qui fonctionne le mieux avec le vôtre et s’il coopère. Si ce n’est pas le cas, ne forcez surtout pas, cela pourrait avoir l’effet inverse et complètement le bloquer. 
Il ne faut pas hésiter à créer une routine, et lui proposer d’aller sur le pot régulièrement (toutes les heures, puis espacer petit à petit) pour éviter les accidents et ainsi faire en sorte qu’il se rende compte par lui-même que le besoin est là. 

>> En route vers la propreté…nos indispensables <<

Ne pas revenir en arrière

À partir du moment où bébé ne porte plus de couches la journée, ne lui en remettez pas sous prétexte que ce sera plus simple à tel ou tel moment. En effet, même en dehors de la maison, où ça peut être un peu plus compliqué à gérer, il faut qu’il puisse prendre conscience que que s’il fait pipi sur lui, il sera mouillé et ce sera inconfortable. Certains enfants ne se sentent absolument pas gênés par l’humidité…ça peut arriver. Dans ce cas, on agit comme à la maison, on propose régulièrement le pot/les toilettes. 
Prenez vos précautions en voiture, n’hésitez pas à emmener votre pot partout : c’est le sien, cela pourra peut-être l’aider dans un environnement étranger, et vous permettre d’éviter les toilettes publiques. Pour les longs trajets, vous pouvez également opter pour les culottes d’apprentissage

Deux petites filles complices assises sur un fauteuil

Avancer ensemble vers un objectif commun

Et si votre enfant n’est toujours pas propre la veille de sa première rentrée : pas de stress ! N’hésitez pas à être honnête avec le personnel de l’école. Ce sont eux qui seront avec votre enfant la journée, donc il est important de faire le point dès le départ pour pouvoir travailler ensemble sur ce point. 
De même, dès que vous entamez le processus, parlez-en aux puéricultrices de la crèche ou à votre assistante maternelle (toutes les personnes susceptibles de garder votre enfant). Il faut que les conditions soient les mêmes à la maison que là où il passera sa journée. 

>> La propreté, jour et nuit ? << 

Chaque enfant est différent

Comme pour tout, chaque enfant avance à son rythme. Le développement de l’un ne sera pas le même que celui de l’autre. Donc on ne s’inquiète pas si cette étape (ou bien d’autres) ne se font pas aussi rapidement que pour votre aîné, ou le fils du voisin, si c’est plus long… Dans tous les cas, il deviendra propre ! Ça prendra le temps que ça prendra ! 
Et si un accident arrive de temps en temps, on essaie de comprendre pourquoi, pour éviter que ça ne se reproduise. Rien ne sert de s’énerver, au contraire !

Deux petites filles complices : 4 conseils pour aborder la propreté sereinement

Comment avez-vous abordé le processus de propreté et quel âge ?
Quelles sont vos astuces ?

Article réalisé dans le cadre d’un partenariat.

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